Un écureuil dans la mangeoire

Surprise au petit déjeuner : au lieu des mésanges, gros becs, verdiers et autres moineaux, c’est un écureuil qui est venu profiter des graines de tournesol.

La photo à travers la vitre n’est pas très bonne, mais elle immortalise un des spectacles de notre acrobate préféré.




Ballet de crapauds dans le bassin

Comme chaque année au moment de la reproduction, nous observons les crapauds dans le bassin. Au lieu des deux couples habituels, la fréquentation est très importante : 8 mâles et une seule femelle, très convoitée ! Il y a donc beaucoup d’animation, les mâles redoublent d’efforts pour approcher la femelle, faire tomber le concurrent qui a réussi à l’agripper…. Heureusement ils ne bougent pas trop vite et se laissent photographier si on garde une certaine distance.

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Floraison du bambou noir

Notre bambou noir (Phyllostachys Nigra Boryana) acquis voilà plus de vingt ans à la Bambouseraie d’Anduze, a pris son temps pour s’implanter et n’a pas encore produit des cannes aussi importantes que prévu, même si les nouvelles tiges atteignent chaque année un diamètre plus grand.

Nous avons la surprise d’une floraison à la mi-juin ! Est-ce vraiment la mort annoncée ?

Juin 2025 : après une année, force est de constater que les tiges des bambous sèchent, aucune pousse apparue, les fleurs et graines sont tombées pour la plupart. Nous avons peu d’espoir.




Tamarillo (1)

Solanum betaceum (ex. Cyphomandra betacea)

Aussi appelé tomate en arbre ou arbre à tomates, le tamarillo est originaire des Andes (Equateur, Colombie, Pérou, Chili et Bolivie), où il est toujours très cultivé dans les jardins et vergers, pour un usage local. C’est un fruit très populaire dans ces régions.

Sa culture s’est répandue dans toutes les zones subtropicales, Rwanda, Afrique du sud, Inde, Chine, Australie, Nouvelle-Zélande…la plante s’est même naturalisée à Madagascar.

Contrairement à ses cousins physalis, tomates et autres poivrons, c’est un véritable arbre qui atteint 4 à 5 mètres de haut. Il supporte la vie en serre froide (simplement hors gel en hiver) et n’a pas de grande exigence en matière d’arrosage ni de sol. Le tamarillo a besoin de chaleur, il meurt en-dessous de -3°.

Ses feuilles sont assez grandes (jusqu’à 30 cm), simples et persistantes, le fruit à la forme d’un œuf, sa taille varie entre 5 et 10 cm de long, la peau est très fine et lisse.

Deux variétés ont une importance commerciale :

  • une variété à fruits orange doré et chair jaunâtre
  • une variété à fruits bordeaux et chair orangée

Usages

Le fruit a un agréable goût acidulé, il doit être mangé bien mûr, comme toutes les solanacées, qui peuvent être plus ou moins toxiques avant maturité.

On peut le manger cru (à la cuillère comme un kiwi) l’ajouter aux salades de fruits… La confiture et la gelée sont aussi excellentes. Il se conserve bien à température ambiante.

En Colombie on fabrique une boisson à base de jus de tamarillo et de lait ; les plats équatoriens sont souvent accompagnés de sauce piquantes qui allient piments et jus de tamarillos (« aji de tomate de arbol »)