Rosier de Kazanlik
Une bouture issue de la collection des Jardins du cap d’Arbon, ce rosier très ancien (connu depuis le 17ème siècle) non remontant a trouvé sa place près du tronc du juniperus à côté du bassin. Il deviendra à terme un grand buisson, ses fleurs roses, assez grandes et chiffonnées, comptent trente pétales (d’où sa dénomination de trigintipetala).
Il est originaire de Bulgarie, où on l’utilise pour la production d’huile essentielle. Il s’appelle d’ailleurs Ölrose en allemand, son parfum est très puissant et remarquable.