Rosier Rose de Rescht

rosier Portland

Un classique rosier ancien remontant, très parfumé. Un ami nous a fourni une bouture, elle s’est développée très rapidement.

Il dégage une impression de robustesse avec ses tiges robustes qui restent bien dressés, et son feuillage abondant, vert assez foncé.

L’exposition mi-ombre au labyrinthe semble lui convenir parfaitement.




Rosier Gentle Hermione

Un rosier surprise soldé en fin de saison, commandé avec quelques plantes de berge au printemps 2023, installé à une entrée du labyrinthe avec Swany : c’est un classique des rosiers anglais, sa première rose d’un rose chair pâle est bien parfumée.

Le début d’été bien arrosé est favorable à sa bonne installation, le buisson pousse bien et plusieurs roses s’épanouissent fin juillet.




Rosier Swany

rosier Polyantha

Un rosier surprise soldé en fin de saison, commandé avec quelques plantes de berge au printemps 2023, installé à une entrée du labyrinthe (avec Gentle Hermione) : il doit devenir un petit buisson, ses feuilles brillantes et sa toute première rose sont de bonne augure.

L’été bien arrosé lui semble favorable, il refleurit généreusement fin juillet.




Rosier The Fairy

rosier Polyantha

Un classique des rosiers buissons vigoureux, remontants et faciles à vivre. Il se développe chaque année un peu plus au pied de l’amélanchier et le printemps arrosé lui a été manifestement favorable. Il commence à fleurir seulement fin juin, mais de manière spectaculaire et tient également bien en vase.




Rosier Débutante

Un rosier surprise (erreur sur la marchandise dans la commande de Fifi sur la Volière), très épineux et vigoureux, à floraison remontante et plutôt tardive (à partir de fin juin), il a été déménagé après sa première floraison dans l’allée des rosiers blancs et a trouvé une place dans le labyrinthe, sur une structure qui n’attendait que lui. Le printemps 2023 bien arrosé a favorisé l’apparition de plusieurs branches vigoureuses.




Blush Noisette

Malgré son étiquette, nous avons un gros doute sur la nature de ce rosier, qui ne semble pas être non plus un rejet de greffe, car depuis des années, un églantier aurait largement couvert l’espace. Il produit quelques fleurs durant l’été ici et là…

Sa couleur convient bien à l’allée de rosiers, l’inconnu y est bien intégré.




Rosier Roxburghii plena

C’est un rosier étonnant, extrêmement épineux, jusqu’à ses boutons floraux qui rappellent une bogue de châtaigne, les Anglais le nomment d’ailleurs ‘Chestnust rose’, j’ai aussi parfois trouvé le nom de rose châtaigne pour le caractériser. Son parfum est très agréable.

C’est un buisson très vigoureux, florifère et remontant. Notre exemplaire est issu d’une bouture des Jardins du Cap d’Arbon, très vite installée.

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Rosier rugosa blanc

Ce rosier a connu des mésaventures dans notre jardin : il a été planté dans le massif des bambous jaunes alors qu’ils n’étaient pas encore trop opulents, sa vigueur nous semblait pouvoir s’accommoder de ces voisins envahissants. Nous avons dû nous rendre à l’évidence, rien ne peut cohabiter avec ces géants gourmands.

Déplanté in extremis, il a rejoint la plate-bande voisine au milieu des poiriers, le long du labyrinthe. Il a eu du mal à reprendre le dessus et a végété plusieurs saisons, il semble que 2023 signe une certaine renaissance, avec plusieurs belles fleurs début mai.

A suivre pour le caractère remontant….




Le rosier « Mutabilis »

Rosa x chinensis Mutabilis

Nous avons réussi deux boutures de ce rosier données par des amis, l’une grimpe sur le toit des toilettes sèches dans le labyrinthe, l’autre marque un des angles de l’hexagone. La structure qui le supporte a dû être réancrée plusieurs fois, il devient assez imposant et présente maintenant un bonne prise au vent .

Ce sont des rosiers sans souci, à floraison quasi continuelle, vigoureux mais pas trop imposants.

Les roses, assez petites et simples, varient de l’abricot au rose soutenu, ce qui donne un joli effet. C’est avec ce rosier que nous avons découvert la famille des rosiers chinensis, nous en avons adopté plusieurs par la suite.




Les rosiers de la clôture

Nous avons parsemé le grillage de quelques rosiers, des boutures glanées ici et là, qui n’ont pas vraiment trouvé leur place ou dont nous ne sommes pas vraiment « convaincus ».

Le rosier de Podensac

Le petit jardin de la petite maison que nous avons louée à Pondensac durant deux ans avait plusieurs rosiers, tous de grands buissons, qui nous fournissaient des bouquets du printemps jusqu’aux gelées. Celui-ci était de loin mon préféré, pour sa couleur et son parfum.

Il ne s’est jamais bien adapté à son nouvel emplacement, mais ses quelques roses nous rappellent de bons souvenirs et sont toujours aussi parfumées.

Le rosier d’Eric

Le rosier d’origine trône près de le terrasse de la maison de famille du Tarn, il est encore plus chétif dans notre jardin, avec de longues branches sans beaucoup de feuillage. Il n’est pas parfumé et ne produit pas beaucoup de roses. Sa disparition ne serait pas une perte immense… mais il s’accroche.

Le rosier du prunier

Je ne me rappelle plus comment il est arrivé là ni d’où il vient… Après avoir végété durant des années, il a « explosé » et produit de longues branches souples que nous essayons de palisser pour permettre le passage. Il est bien parfumé, mais à floraison unique.