Nous avons parsemé le grillage de quelques rosiers, des boutures glanées ici et là, qui n’ont pas vraiment trouvé leur place ou dont nous ne sommes pas vraiment « convaincus ».
Le rosier de Podensac
Le petit jardin de la petite maison que nous avons louée à Pondensac durant deux ans avait plusieurs rosiers, tous de grands buissons, qui nous fournissaient des bouquets du printemps jusqu’aux gelées. Celui-ci était de loin mon préféré, pour sa couleur et son parfum.
Il ne s’est jamais bien adapté à son nouvel emplacement, mais ses quelques roses nous rappellent de bons souvenirs et sont toujours aussi parfumées.
Le rosier d’Eric
Le rosier d’origine trône près de le terrasse de la maison de famille du Tarn, il est encore plus chétif dans notre jardin, avec de longues branches sans beaucoup de feuillage. Il n’est pas parfumé et ne produit pas beaucoup de roses. Sa disparition ne serait pas une perte immense… mais il s’accroche.
Le rosier du prunier
Je ne me rappelle plus comment il est arrivé là ni d’où il vient… Après avoir végété durant des années, il a « explosé » et produit de longues branches souples que nous essayons de palisser pour permettre le passage. Il est bien parfumé, mais à floraison unique.