Acheté en promotion sur un site Internet quand nous avons commencé à restaurer le presbytère, notre choix s’est porté sur ce rosier blanc grimpant qui portait le même nom que notre chienne, blanche elle aussi ! Au moins, nous n’allions pas oublier quand on nous poserait la question….
Même si ce n’est pas un rosier ancien, il n’est pas remontant et presque pas parfumé ; en revanche ses petites roses simples attirent quantité de butineurs durant toute la floraison…. Les nombreuses branches abritent aussi des nids presque chaque année. Il est bien palissé, taillé après floraison assez sévèrement, c’est un rosier sain et vigoureux. Depuis plusieurs années, un bouquet de petites fleurs roses se détache de la masse blanche du rosier en fleurs, mais pas tous les ans au même endroit !
Il a été à l’origine d’une aventure : en creusant le trou de plantation près de la porte d’entrée, nous avons été intrigués par une couche de galets qui semblaient bien rangés. Quelques sondages ici et là nous ont confirmé qu’il y avait certainement une calade enterrée sous quinze à vingt centimètres de terre. Nous nous sommes attelés à la tâche et brouette après brouette, avons mis au jour les petits galets bien positionnés le long de toute la façade sud. Nous avons aussi dégagé un chemin d’accès au bureau, et continué avec de gros galets rapportés pour la partie voiture entre portail et garage. Presque plus rien ne subsistait dans cette zone, largement bousculée par les travaux de raccordement d’eau notamment effectués par les précédents propriétaires.